Le combat d’un photoreporter à Gaza #
A 40 ans, il raconte aujourd’hui une histoire de résilience, de courage et d’épuisement. Il a couvert la guerre depuis le 7 octobre, traversant l’enclave de Gaza, bravant le danger, au rythme des mouvements de population, y compris le sien.
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Freelance pour plusieurs agences de presse internationales, dont Reuters, il est aujourd’hui à bout de forces. Physiquement et moralement vidé, il envisage même de quitter Gaza. Mais il est tiré en arrière par le désir de raconter l’histoire de ce lieu et de ses habitants.
Des scènes de désolation #
Le lendemain du retrait de l’armée israélienne de Khan Younès, après quatre mois de bombardements, Zakot était sur place. Ce qu’il a vu lui a fait l’effet d’un séisme. La grande ville du sud de Gaza était en ruines, carbonisée. Tous les bâtiments, petits ou grands, étaient détruits.
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Il était difficile pour lui de reconnaître les rues et les quartiers jonchés de pierres. Ces lieux étaient pourtant familiers à Zakot, qui y avait vécu pendant vingt ans à partir de 1994, après son retour d’Arabie Saoudite, où il est né. Sa famille est originaire de Khan Younès, et il a passé la journée à photographier les milliers d’habitants venus découvrir ce spectacle de désolation.
Les marques indélébiles de la guerre #
La guerre a laissé des marques profondes dans l’esprit de Zakot, des images de désolation et de détresse qui resteront gravées à jamais dans sa mémoire. Il témoigne du poids que porte un photoreporter dans une zone de guerre. Il doit faire face non seulement à la réalité effroyable de la guerre, mais aussi à l’impact de ces images sur son propre état d’esprit.
Chaque jour, Zakot prend son appareil photo et documente les épreuves que traversent les habitants de Gaza. Il capture les visages marqués par la peur, la douleur et l’incertitude de l’avenir. Ces images sont devenues une partie intégrante de son existence.
Les éléments marquants de l’expérience d’Ahmed Zakot comprennent :
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- La couverture de la guerre à Gaza depuis plus de six mois
- Les déplacements constants dans l’enclave sous le feu, au gré des mouvements de population
- La découverte de Khan Younès en ruines après le retrait de l’armée israélienne
- La considération de quitter Gaza face à l’épuisement physique et moral
Plan de l'article
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