Un incendie aux circonstances troublantes #
Selon les premières informations, l’origine de ce feu dévastateur serait un journal imbibé d’essence.
Ce détail, aussi minime soit-il, a transformé une enquête de routine en une affaire criminelle complexe. En effet, l’utilisation d’un journal imbibé d’essence suggère une intention délibérée de déclencher le feu, poussant ainsi les enquêteurs à requalifier l’affaire en « destruction volontaire par moyen incendiaire et homicide volontaire ».
Morts suspectes au coeur de l’incendie #
Le feu n’a pas seulement emporté des vies, il a également dissimulé un crime plus sombre. Sur les trois victimes, deux ont été retrouvées calcinées dans le foyer de l’incendie. Mais ce n’est pas le feu qui a mis fin à leur vie. Les expertises ont révélé qu’ils ont succombé à des balles dans la tête, avant même que le feu n’éclate.
Des témoignages de riverains qui ont entendu des détonations avant l’apparition des flammes corroborent ces conclusions. Ces découvertes macabres suggèrent un double meurtre camouflé par l’incendie, ajoutant une couche supplémentaire de mystère à l’enquête.
Un enchevêtrement de fausses identités #
La troisième victime, qui semble avoir tenté de fuir les flammes en se défenestrant, a été retrouvée avec plusieurs documents d’identité. Cette découverte a jeté une lumière crue sur une autre facette troublante de cette affaire : les fausses identités.
Des sources révèlent que les trois victimes sont d’origine Afghane. Cet élément pourrait indiquer un possible règlement de comptes au sein de la communauté. Pour l’instant, la brigade criminelle, désormais en charge de l’enquête, est confrontée à plus de questions que de réponses.
Voici quelques points clés à retenir :
- Un incendie délibéré a été déclenché par un journal imbibé d’essence.
- Deux des victimes ont été tuées par balle avant l’incendie.
- La troisième victime a été retrouvée avec plusieurs documents d’identité.
- Les trois victimes sont d’origine Afghane, ce qui pourrait indiquer un règlement de comptes communautaire.