La surprenante histoire derrière la découverte du crâne d’Émile : pourquoi la randonneuse l’a emporté avec elle en réalité ?

Imaginez une promenade tranquille transformée en véritable scène d'horreur.

La découverte terrifiante d’Émile #

C’est ce que cette randonneuse a vécu un certain 30 mars, lorsqu’elle a découvert le crâne du petit Émile dans le Haut-Vernet. Au lieu de paniquer et d’appeler les autorités immédiatement, elle a choisi d’emporter le crâne avec elle. Pourquoi donc ?

La réponse est plus simple que l’on pourrait penser : cette randonneuse n’avait pas de téléphone portable. Elle ne pouvait donc pas contacter les gendarmes sur place, comme elle l’a expliqué à BFMTV.

Le récit de la randonneuse #

Confrontée à une découverte aussi macabre, la randonneuse a d’abord été prise de panique. « J’ai pleuré, puis je me suis calmée. J’aurais pu le laisser mais après, le temps d’y retourner, il n’aurait plus été là », a-t-elle déclaré. Elle savait que les conditions météorologiques changeantes pourraient faire disparaître les preuves cruciales.

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Elle a donc couru à la gendarmerie, tenant le crâne à bout de bras. « Tout le voyage, je porte la chose à bout de bras » car « sentir la forme toucher mon corps me terrifie ». Elle espérait que sa découverte aiderait à faire avancer l’enquête et à trouver le coupable.

Les conséquences pour la randonneuse #

Après avoir livré le crâne aux autorités, la randonneuse a été interrogée. Le lendemain, elle a eu la surprise de voir sa maison perquisitionnée. « Je ne m’y attendais pas, » a-t-elle confié. Depuis sa découverte, elle n’est plus retournée en promenade, déclarant qu’elle avait besoin de temps pour « digérer ».

Sensible, elle a beaucoup pensé aux parents d’Émile. « Qu’ils trouvent la paix… Que Dieu leur donne la paix ». Elle espère que son action a pu aider à préserver les indices importants qui pouvaient être trouvés sur le crâne de l’enfant.

Voici quelques points clés à retenir de cette histoire :

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  • La randonneuse n’a pas contacté les gendarmes immédiatement car elle n’avait pas de téléphone portable.
  • Elle a décidé d’emporter le crâne avec elle pour préserver les preuves.
  • Après avoir livré le crâne, elle a été interrogée et sa maison a été perquisitionnée.

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