HSBC continue son exode financier : après le Canada, c’est l’Argentine qui voit la banque se retirer à perte

La banque multinationale HSBC est dans une phase de restructuration et de recentrage sur ses marchés clés.

HSBC : une stratégie de retrait des marchés non stratégiques #

Après avoir vendu sa filiale canadienne pour une somme colossale de 13,5 milliards de dollars canadiens, soit environ 9 milliards d’euros, elle continue sur sa lancée en se délestant de sa filiale argentine.

La vente de cette dernière s’est faite pour une somme de 550 millions de dollars, soit environ 506 millions d’euros. Cette transaction s’inscrit dans le cadre de la stratégie de HSBC de se retirer des pays qu’elle considère comme non stratégiques.

Une perte importante pour HSBC #

Toutefois, ce retrait du marché argentin n’est pas sans conséquence pour la banque sino-britannique. En effet, contrairement à la vente de la filiale canadienne qui a généré un gain de 4,9 milliards de dollars, la cession de la filiale argentine a créé une perte d’environ 1 milliard au premier trimestre.

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La facture finale pourrait même être plus élevée. Cela soulève des questionnements sur le bien-fondé de cette stratégie de retrait, surtout lorsqu’elle génère des pertes aussi conséquentes.

Les implications de cette stratégie de retrait #

Le retrait de HSBC de certains marchés peut avoir des implications significatives. D’une part, cela peut affecter les clients de la banque dans ces pays qui devront trouver une autre institution financière. D’autre part, cela pourrait aussi signifier une diminution de la concurrence sur ces marchés, ce qui pourrait avoir des conséquences sur les tarifs et les services offerts.

Il reste à voir comment cette stratégie évoluera et quel impact elle aura sur l’avenir de HSBC. Cependant, il est clair que le retrait de la banque de certains marchés est une décision majeure qui pourrait avoir des répercussions importantes.

Voici quelques points clés à retenir :

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  • HSBC poursuit sa stratégie de retrait des marchés non stratégiques avec la vente de sa filiale en Argentine.
  • Contrairement à la vente de la filiale canadienne, la cession de la filiale argentine a engendré une perte d’environ 1 milliard.
  • Le retrait de ces marchés pourrait avoir des conséquences significatives pour la concurrence et les clients de ces pays.

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