Une journée qui commence comme les autres #
Vers 9h30, un individu armé a attaqué la banque Dupuy de Parseval située dans la zone artisanale Les Tannes Basses. Un spectacle terrifiant qui a été raconté par ceux qui l’ont vécu.
Stéphane Torres, un témoin, raconte comment il a vu l’assaillant arriver dans une voiture noire. «Il est sorti du véhicule, habillé comme un militaire, avec un pantalon et une veste kaki et un bonnet noir sur la tête. Il a ouvert le coffre, a pris un fusil de chasse et s’est dirigé vers la banque », raconte cet homme de 50 ans.
La violence éclate #
La description de Stéphane continue avec une violence inattendue. « Il est entré dans la banque, a tiré trois fois. Ensuite, il est sorti, a tiré deux fois en l’air avant de retourner à la banque. » La scène se déroule en un temps étonnamment court, créant un climat de peur et d’incertitude.
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Quand la première patrouille de gendarmerie est arrivée, l’homme a ouvert le feu sur eux aussi. Stéphane admet qu’à ce stade, il a couru pour sauver sa vie. « J’ai eu peur pour ma vie. J’ai même reçu des éclats de plomb. C’était effrayant. Tout cela s’est passé en moins de dix minutes. »
Des témoins pris dans le feu de l’action #
Un autre témoin, qui était venu faire du shopping à Kiabi, juste à côté de la banque Dupuy de Parseval, s’est retrouvé pris dans la fusillade entre l’assaillant et les forces de l’ordre. Selon lui, les gendarmes ont blessé l’assaillant, et c’est à ce moment-là qu’il est retourné dans la banque.
Cependant, ces détails doivent être pris avec précaution, car ils ont été recueillis dans le feu de l’action. Le témoin, qui a choisi de rester anonyme, a révélé qu’il avait dû sauter de sa voiture pour se cacher derrière d’autres véhicules, choqué par la violence de la scène.
Les événements de cette matinée terrifiante à Clermont-l’Hérault ont révélé plusieurs éléments troublants :
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- L’audace de l’assaillant à attaquer en plein jour.
- La rapidité avec laquelle la situation a dégénéré.
- La peur et le choc ressentis par les témoins.