Des commentaires qui ébranlent la scène médiatique #
Connue pour son franc-parler, la chanteuse a vivement critiqué les accusations de Judith Godrèche contre le réalisateur Benoît Jacquot. Cette dernière a accusé Jacquot de viol et de violence sur mineur alors qu’elle n’avait que 14 ans et lui 39.
Philippe, bien que triste et en colère, a exprimé sans détour son opinion sur l’émission de Jordan. Elle a remis en question la légitimité de porter plainte plusieurs années après les faits, créant une tension palpable sur le plateau.
Un point de vue polarisant #
Philippe a clairement exprimé son scepticisme concernant le récit de Godrèche. « Je trouve que c’est malvenu, quand on a travaillé avec une personne et qu’on a vécu une vie maritale avec la personne, de se réveiller dix ans après et de dire ‘Ah tiens je me suis fait violer’ ! Non, moi, je n’y crois pas ! », a-t-elle déclaré.
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Elle a ensuite critiqué Godrèche, l’accusant d’avoir profité de la situation à l’époque et de « cracher dans la soupe » aujourd’hui. « Vous vous rendez compte, elle était bien contente de tourner avec et de faire du cinéma ! », a-t-elle lancé.
Une nouvelle perspective sur le mouvement #MeToo #
Bien que Philippe soit elle-même victime d’abus, elle ne partage pas la même vision que d’autres femmes qui ont décidé de prendre la parole. Pour elle, il est essentiel de « l’ouvrir quand il faut l’ouvrir, c’est tout ! ». Cette déclaration offre une nouvelle perspective sur le mouvement #MeToo, qui encourage les victimes à parler de leurs expériences.
Le point de vue d’Annie Philippe offre un autre angle sur le mouvement #MeToo. Bien que controversé, il soulève des questions importantes sur le timing et les motivations derrière les accusations.
- Philippe critique la décision de Godrèche de porter plainte plusieurs années après les faits.
- Elle accuse Godrèche d’avoir profité de la situation dans sa jeunesse.
- Malgré sa propre expérience d’abus, Philippe ne voit pas l’utilité de porter plainte après tant d’années.