Les murs de Narbonne se parent de mystérieuses œuvres d’art #
Des figures royales et féériques ont envahi les murs de la ville, parsemant les façades de princesses et de couronnes. Un acte de vandalisme qui a malgré tout ajouté une touche de poésie à la ville.
Le dimanche 7 avril, aux alentours de 20 heures, deux adolescents de 16 et 17 ans se sont retrouvés au cœur d’une affaire qui a ébranlé la sérénité de la ville. Leur passion pour l’art urbain les a amenés à laisser leur empreinte sur de nombreux murs et façades du centre-ville, en particulier à proximité des halles.
Un préjudice mignon mais coûteux #
Les dessins, malgré leur aspect innocent et mignon, ont causé un préjudice significatif. En raison du grand nombre de graffitis, les propriétaires des bâtiments ont été invités à déposer plainte. C’est un rappel que même les actions les plus inoffensives en apparence peuvent avoir de lourdes conséquences.
Le commandant Vinolas du commissariat de police de Narbonne a exhorté les victimes de ces graffitis à se manifester. Ce n’est qu’ainsi que l’étendue complète des dommages pourra être évaluée. Les propriétaires de bâtiments privés sont particulièrement concernés par cette affaire.
La ville en émoi face à ces événements #
Les habitants de Narbonne ont été pris de court par cette vague de graffiti. L’apparition soudaine de ces œuvres d’art sur leurs murs a déclenché une cascade d’émotions, entre surprise et indignation. Les rues de la ville, autrefois silencieuses et tranquilles, sont maintenant le théâtre d’un débat animé.
Alors que certains voient dans ces graffitis une forme d’expression artistique, d’autres y voient une atteinte à leur propriété. Cette affaire a mis en lumière la fine ligne entre l’art et le vandalisme, une question qui continue de diviser la communauté de Narbonne.
Voici un récapitulatif des événements :
- Le dimanche 7 avril, deux adolescents de 16 et 17 ans ont été arrêtés pour avoir dessiné des graffitis sur de nombreux murs à Narbonne.
- Les graffitis, bien que mignons, représentent un préjudice important pour les propriétaires de bâtiments.
- Le commandant Vinolas a invité les victimes à se manifester pour permettre une évaluation complète des dommages.
- Les habitants de Narbonne sont divisés sur la question de savoir si ces graffitis constituent une forme d’art ou du vandalisme.