L’heure de parler pour Jacques Doillon #
Depuis le dépôt de la plainte par l’actrice Judith Godrèche le 6 février, Jacques Doillon vit une véritable tempête médiatique et judiciaire.
En réponse aux accusations, l’illustre cinéaste a décidé de livrer sa vérité, déclarant: « J’ai été victime de propos ignobles et il semble que personne ne s’est soucié d’écouter mon point de vue ».
Stupéfaction et démenti #
La médiatisation de la plainte de Judith Godrèche a provoqué une onde de choc dans le monde du cinéma. Face à ces allégations, Jacques Doillon dément fermement. « Les accusations de Judith Godrèche m’ont laissé sidéré, stupéfait et en colère. Jamais je n’ai eu de relation intime avec elle. Il n’y a eu aucune attirance de ma part envers elle. Rien ne s’est passé, ni dans un bureau, ni ailleurs », a-t-il affirmé.
Le réalisateur a également précisé que l’actrice avait 16 ans à l’époque des faits présumés, et non 14, s’appuyant sur des fiches de paie de l’époque pour corroborer ses dires.
Controverse et dénégations #
Face à d’autres accusations, notamment celles d’Anna Mouglalis et Jessica Tharaud, Jacques Doillon continue de nier catégoriquement. « Je n’ai jamais promis de rôle à qui que ce soit en échange de faveurs sexuelles. Certes, au cours de mes 35 films, j’ai eu des relations avec des comédiennes, peut-être une ou deux fois, mais je n’ai jamais été un harceleur », s’insurge-t-il.
Enfin, il déclare : « Judith Godrèche a lancé les hostilités et fait de moi son bouc émissaire. Les autres accusations ont suivi. Cela semble être un parfait exemple de l’effet de meute décrit en psychologie. Si j’étais l’homme horrible qu’elle prétend, son appel à témoins aurait dû susciter davantage de réactions ».
- Accusations de viol sur mineur
- Stupéfaction face aux allégations
- Démenti des accusations
- Effet de meute