Le contexte économique difficile, toujours omniprésent #
L’année précédente a enregistré une hausse de plus de 30%, avec près de 17.090 procédures enregistrées au premier trimestre. Cette tendance alarmante a vu le nombre de défaillances atteindre son plus haut niveau depuis le premier trimestre de 2015.
Les données du cabinet Altares indiquent que la barre symbolique des 60.000 défauts sur douze mois, franchie suite à la crise financière de 2008, a été dépassée dès le mois de février. Le contexte est donc complexe pour les entreprises, avec une pression économique constante et une incertitude latente.
Une tendance à la défaillance en baisse #
Cependant, alors que les entreprises naviguent dans ces eaux tumultueuses, des signaux encourageants commencent à émerger. La progression des défaillances, bien que toujours présente, ralentit. La hausse des défauts est désormais deux fois moins importante qu’elle ne l’était l’année dernière.
Cette baisse relative pourrait être le signe d’une amélioration à venir au deuxième trimestre. Thierry Millon, directeur des études d’Altares, suggère que « la page du Covid est en train de se refermer », malgré le fardeau des prêts garantis par l’Etat qui doivent encore être remboursés.
Qu’attendre de l’avenir ? #
Face à cette situation, la question se pose : que réserve l’avenir pour les entreprises ? Si la tendance actuelle se maintient, nous pourrions voir une diminution significative des défaillances au cours des prochains mois.
Il est toutefois important de rappeler que la route vers la reprise économique sera probablement longue et semée d’embûches. L’avenir reste incertain, mais ces premiers signes d’amélioration sont une lueur d’espoir pour de nombreuses entreprises.
Dans ce contexte, voici quelques points à garder à l’esprit :
- La situation économique reste complexe et incertaine
- La tendance à la défaillance des entreprises ralentit
- Des signes d’amélioration sont perceptibles, bien que la route vers la reprise économique reste longue