Macron et le déficit public : une dette colossale de 1 000 milliards d’euros qui questionne

La scène se déroule le 27 août 2015 à Jouy-en-Josas, un village tranquille des Yvelines.

Une dette publique en constante augmentation #

Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, célèbre son premier anniversaire à Bercy. Il est l’orateur de clôture de l’université d’été du Medef, s’adressant à l’élite des chefs d’entreprise français.

Ce jour-là, le futur candidat à la présidence, encore dans la trentaine et ex-inspecteur des finances, critique ouvertement la « solution facile » que tous les gouvernements ont utilisée à ses yeux : « la dépense publique ».

La dépense publique : un problème intergénérationnel #

Emmanuel Macron, avec son teint bronzé et sa cravate rouge, a déclaré sans détour : « Lorsqu’on a 57 % de dépense publique rapportée au PIB, ça n’est plus possible. Ça n’est plus possible… Parce que c’est reporter le problème sur les générations à venir […] ».

À lire Comment choisir la coupe de cheveux parfaite pour femme ?

Il a qualifié cette attitude d' »irresponsable », soulignant ainsi l’impact des décisions d’aujourd’hui sur les générations futures. L’augmentation de la dette publique ne fait que différer la résolution du problème, en mettant la charge sur les épaules des générations à venir.

Macron : l’homme aux 1 000 milliards de dette #

Depuis son arrivée au pouvoir, la dette publique a fortement augmenté, atteignant le chiffre stupéfiant de 1 000 milliards d’euros. C’est un fardeau qui pèse lourdement sur l’économie française, et qui suscite de nombreuses questions sur la gestion financière du pays.

Macron, considéré auparavant comme un héraut de la responsabilité financière, est maintenant confronté à un défi colossal. La question est de savoir comment il compte s’y prendre pour résoudre ce problème complexe et pressant.

  • Une dette publique de 1 000 milliards d’euros
  • Une dépense publique qui atteint 57% du PIB
  • Un défi colossal à relever pour Macron

Sciences et Démocratie est édité de façon indépendante. Soutenez la rédaction en nous ajoutant dans vos favoris sur Google Actualités :

Partagez votre avis