Un incident horrifiant à Tours #
Cet acte révoltant s’est déroulé aux abords de l’école Jules-Verne, quartier du Beffroi, où cinq adolescentes ont déchaîné leur violence sur leur victime, filmant la scène pour ensuite la partager sur les réseaux sociaux.
Les images, d’une violence incommensurable, montrent la victime recevant une pluie de coups, de claques, de coups de poing et de pied alors qu’elle est recroquevillée au sol. Les assaillantes ne se sont pas arrêtées là, elles ont continué à la frapper au visage et à lui tirer les cheveux.
Les conséquences tragiques de l’agression #
L’adolescente agressée a subi des blessures considérables. Elle a été hospitalisée avec de multiples ecchymoses et un nez cassé, ainsi qu’un traumatisme cranofacial. En plus de ces blessures, elle a dû faire face à une incapacité totale de travail de sept jours.
Comme si cette violence n’était pas suffisante, les assaillantes ont aussi volé les affaires personnelles de la victime, dont ses bottes et son téléphone. Les parents de la jeune fille, bouleversés, ont déposé une plainte contre les agresseurs.
Les suites judiciaires de l’affaire #
Les coupables présumées – cinq jeunes filles âgées de 11 à 15 ans – ont été arrêtées. Quatre d’entre elles ont été placées en garde à vue, tandis que la plus jeune a été confiée à un juge pour enfants. Elles sont toutes accusées de « vol avec violence en réunion » et « d’enregistrement et diffusion volontaire d’images portant atteinte à l’intégrité de la personne ».
En attendant leur procès, elles sont placées sous contrôle judiciaire, notamment sous forme de mesure éducative judiciaire provisoire. Quant au mobile de cette agression, il semblerait qu’il s’agisse d’une querelle sentimentale « futile ».
Voici quelques points marquants de cette tragédie :
- L’agression a eu lieu le 3 avril 2024 à proximité de l’école Jules-Verne, dans le quartier du Beffroi à Tours.
- La victime, une jeune fille de 14 ans, a été violemment attaquée par cinq autres adolescentes.
- La scène d’une violence inouïe a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux.
- En plus des blessures physiques, la victime a aussi été dépossédée de ses biens personnels.
- Les agresseurs sont sous contrôle judiciaire en attendant leur comparution devant le tribunal pour enfants.