Une vague de harcèlement déferle sur la maire de Besançon #
Les attaques, d’une violence extrême, ont inclus des menaces de viol et de nombreuses insultes haineuses.
Ce déchaînement de haine a commencé après que Vignot a déposé une plainte contre ces banderoles, qu’elle considérait comme des incitations à la haine raciale. Cet acte a déclenché une réaction féroce de la part de certains membres de la communauté en ligne.
Des actions légales entraînent une plus grande hostilité #
Suite à sa plainte, une enquête a été ouverte par le parquet de Besançon et une militante d’extrême droite a été placée en garde à vue, avant d’être relâchée. Cela a seulement servi à intensifier le niveau de harcèlement que la maire a subi.
Dès l’annonce de son dépôt de plainte, Vignot a été assaillie par une vague de cyberharcèlement ciblé et coordonné. Elle a décrit l’expérience comme d’une « extrême violence », avec des centaines d’insultes, des propos haineux et dégradants envoyés dans sa direction.
Des menaces et des insultes choquantes #
Le quotidien local L’Est républicain a choisi de rendre public certains des messages reçus par Vignot. Ils incluaient des phrases telles que « Sois patiente, tu seras tondue à la Libération » et « Saute dans un cercueil qu’on en finisse immondice ».
Un des conseillers régionaux du parti d’extrême droite a même utilisé une expression empruntée au vocabulaire nazi, selon Vignot. Ces menaces et insultes choquantes ont montré l’étendue de la haine et de la violence auxquelles la maire a été confrontée pour avoir pris position contre le racisme.
- Prise de position contre des banderoles antimigrants
- Dépôt d’une plainte pour incitation à la haine raciale
- Subie d’un cyberharcèlement d’une extrême violence
📌 Point clé | 📝 Résumé |
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🔥 Harcèlement | La maire de Besançon a subi un harcèlement en ligne après avoir déposé une plainte contre des banderoles antimigrants lors d’un carnaval. |
⚖️ Actions légales | Une enquête a été ouverte par le parquet de Besançon et une militante d’extrême droite a été arrêtée puis relâchée. |
🗣️ Menaces et insultes | La maire a reçu des menaces de viol, des insultes haineuses et des messages dégradants, certains provenant de membres du parti d’extrême droite. |